young, dumb and clumsy hearts vingt malmö, les pieds dans l’eau suédois suédoises homosexuel célibataire au bout du rouleau acteur (théâtre) sick and sad paquerettes Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ?
ta façon de se déplacer, délicate, les pas léger, l’habitude de ne pas devoir faire de bruit, de devoir faire attention.
Son moment de la journée préféré ?
l’aube, quand le soleil commence à peine à se lever, qu’il peint le ciel de plein de couleurs, qu’il t’annonce une nouvelle journée, meilleure que la précédente et la pluie, légère, fine, sous laquelle il se passe tant de choses, tant d’aventures, plein d’histoires à raconter le lendemain.
Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ?
aller voir des voyantes, pour te faire tirer les cartes, qu’on lise dans ton avenir, qu’on t’aide à avancer et qu’on te donne des indices sur le chemin à suivre, jamais trop certain d’où tu vas et d’où tu dois aller
Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ?
des tragédies plein la tête, les répliques de tes pièces à venir qui t'empêchent de dormir, obnubilé à l’idée d’être parfait, de jouer ton rôle à la perfection, parce que tu sais que tu vas te tromper, une fois, deux fois, mais on te le pardonnera pas trois fois.
Comment est son écriture ?
pleine de boucle, pas très droite et régulière, comme un enfant qui oublie qu’il faut remplir les lignes, pas dépasser, les l en ballons et des petits dessins sur les i parfois.
Gaucher, droitier, ambidextre ?
ambidextre, parce que t’as besoin de tes deux mains pour travailler, besoin d’être habile pour répondre le mieux aux attentes, tu peux pas te contenter d’être que droitier ou gaucher, pas possible.
Quelque chose qu'il ne supporte pas ?
quand tu te rends compte qu’on se moque de toi, qu’on se moque des autres, que la moquerie te reste au travers de la gorge, qu’elle a du mal à passer, méchanceté gratuite dont le monde se passerait bien.
Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ?
autant que l’ancienne, marche insouciante à travers les rues d’auckland, aveugle aux problèmes et sourds aux cris de détresses qui se font entendre parfois, un peu triste des fois, quand tu ouvres les yeux et que tu te rends compte de la réalité pas toute rose.
 caractère
tl;dr / naïf + bienveillant + plein de compassion + altruiste + introverti + distrait + innocent + peureux + crédule + curieux + bavard + solaire
trop gentil, trop naïf, la bonté dans le cœur, la gentillesse dans la voix, trop délicat pour faire du mal, trop amoureux pour blesser. les mains tendues à ceux qui en ont besoin, ceux qui le demandent, quand tu arrives à les entendre, à les voir, à les comprendre, que tu préfères qu’on te prenne le bras plutôt qu’ignorer leur détresse apparente. mutilé par le partage, parce que tu donnes trop, plus que ce que tu as, que tu as rien de bien solide toi non plus, seulement ta passion pour te maintenir la tête hors de l’eau, parfois, quand les étoiles s’alignent rien que pour toi.
trop introverti pour demander de l’aide, trop dans ta tête pour l’accepter quand on te la propose. toujours dans les nuages, toujours là à te poser plein de questions trop souvent sans réponses, à te perdre dans une réalité altérée par tes divagations enfantines. le regard voilé de rose, à trouver le bon et ignorer le mal. incapable de distinguer les bonnes intentions des mauvaises, tout le temps, tout est trop compliqué pour toi.
plein de fois tu te dis qu’il ne faut pas, que tu ne devrais pas, parce que tu sais comment t’es, tu sais que tu te perds trop facilement, que tu te fais berner, manipuler, qu’il te faut pas longtemps pour faire confiance, donner une partie de toi, tu te perds parfois en chemin, le coeur qui fane en même temps que toi, en même temps que tes poumons se déchirent, que ta gorge s’arrache, l’amour qui fait des ravages, la confiance qui te bouffe.
c’est ta faute aussi, parce que t’es curieux comme tout alors tu vas toujours chercher à comprendre, poser plein de questions, parler sans t’arrêter (tais-toi) et tu prends parfois un peu trop de place, sans t’en rendre compte, parce que tu fais pas exprès, ça part toujours d’une bonne volonté, mais tu exaspères, fatigues, épuises ton entourage. toujours en forme, toujours de bonne humeur, sans aucuns problèmes apparents, trop lumineux parfois pour qu’on te regarde en face et c’est pour ça qu’on se détourne de toi, qu’on cherche à te casser, que t’es trop et ça fait peur, parfois.
tes cheveux en cascade qui te tombent sur les épaules, devant les yeux + les mèches platines qui t’éblouissent, parce que tu oublies parfois qu’ils ont cette couleur, décoloration récente + tes yeux trop clair eux aussi, trop bleu, trop profond, qu’on regarde pas trop longtemps, trop intense pour être soutenus, trop plein d’innocence pour être supportés + un mètre soixante quatorze de hauteur pour vraiment pas grand chose de largeur, la peau qui te colle, conséquence accablante de la vie que tu mènes + les traits délicats de l’enfance qui ne quittent pas vraiment ton visage, la peau lisse et sans défaut qui te laisse une peau parfaite, enviée de tous, entretenue par tous les produits de ta compagnie + le teint blafard de la maladie sous une petite couche de fond de teint quand il faut monter sur scène, être sous le feu des projecteurs + les mains fines et délicates, comme si t’avais jamais travaillé + des cicatrices éparpillées sur tes jambes, tes bras, pour toutes les fois où tu es tombé par terre, à t’en arracher la peau sans faire exprès, sans le vouloir + des références nordiques tatouées sur le dos, souvenirs de tes aventures sans fin, parce que tu as toujours été sol aux yeux de sweenie, qu’il a toujours dit être maní
histoire c’est compliqué, parfois, de revenir sur le passé. de retracer tes pas et de te souvenir de tout ce que tu as fait, tout ce que tu n’as pas fait. c’est assumer tes erreurs, assumer ne pas avoir fait les bons choix au bon moment. accepter tout ce que ta famille a sacrifié pour toi. son temps, son argent parfois. que c’est bien mignon d’être à auckland maintenant, mais c’est dur pour toi aussi, parce que malmö te manque. des fois, te souvenir de tes escapades nocturnes, de ces soirs où t’as fait le mur avec sweenie, à marquer les rues de votre ville par vos rires, trop bruyants, l'insouciance de l’enfance dans la voix.
tu sais pourtant que s'il sortait, c’était pas pour jouer, parce que tu sais très bien que sweenie trainait dans des affaires pas très nettes, que derrière les grosses parka noires, il te cachait des choses. la carrure augmentée par des vêtements mal taillés, pour le rendre plus large, plus intimidant. que s’il parlait fort, lui, c’était pour faire savoir qu’il était là, des fois. mais quand il te disait de te taire, d’arrêter, qu’il se mettait à chuchoter, tu savais que ça devenait sérieux, que c’était plus un jeu et tu te rendais toujours compte que tu jouais dans une cours qui n’était pas la tienne, que tu te mettais en danger, lui avec.
quand c’est le détonement des armes à feu qui prenait le dessus sur vos rires, écho dans les rues calmes de malmö, que la main de ton frère se resserrait sur la tienne, tu savais qu’il fallait te faire discret maintenant, que c’était plus l’heure pour l’inconscience. c’est dur, d’y repenser, parce qu’il a toujours tout fait pour toi mais t’as jamais su comment l’aider, jamais eu le droit de te mêler de tout ça. sa main sur la tienne pour t’en empêcher, pour t’arrêter, que t’es trop précieux à ses yeux pour tremper dans tout ça.
ça a toujours été facile pourtant, quand vous rentriez à la maison, de faire comme si de rien était. pour vos parents, ça a toujours été bon enfant, vos sorties, vos escapades, les secrets gardés, échangés en cachette. puis ça a mal tourné, pas pour vous mais pour les autres et ils ont pris peur, quand ils se sont rendu compte que peut-être que vous aussi, ça pourrait vous arriver, qu’ils ont tout fait pour que vous partiez, pour que vous soyez loin de tout ça. l’enfance envolée, comme vous vers auckland mais toi ça te manque un peu, malmö.
storyline
• né et grandit à malmö, suède
• évolue dans un milieu relativement modeste, presque précaire
• commence le théâtre en guise d'activité extra-scolaire en primaire
• arrête pendant quelques années, avant de reprendre grâce à son frère qui préfère le voir évoluer là dedans plutôt que dans la délinquance
• joue sur des petites scènes pour des petits publics pendant ses études
• se rêve le rôle cliché de roméo, préfèrerai quand même jouer mercutio ou tybalt, à choisir
• déménage en nouvelle-zélande en 2021
• continue ses études et rejoint une petite troupe amateur pour essayer de se faire un nom et peut-être joindre les deux bouts
recensement - Code:
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» <b>PRETENDER (OBÉRON)</b> + FATE ✿ <a href="www">Gabriel Blomstedt</a> Merci de remplir ce champ uniquement si vous avez envie d'être mis dans la liste des coeurs pour être contacté pendant les intrigues, les lancers de dés ou par les autres membres pour des futurs liens, tout en gardant à l'esprit que votre coeur, donc, peut changer à tout instant grâce à la science : - Code:
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» <b>coeur prit</b> ✿ <a href="www">Gabriel Blomstedt</a> derrière l'écran me revoilà plus rapide que mon ombre | Aspen H. Richard prostituée  | |
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