 GIGI HEREWINI We are running blind with no resistance ✿ Nom : Herewini, symbole d’une famille mise de côté, d’ancienne traditions maories oubliées : parce que c’est la nouvelle génération, qu’elle est ailleurs pour compensé
✿ Prénom : Gigi : c’est drôle, enfantin. Elle se souvient que sur la plage, c’était aussi le nom d’un petit chien… (drôle et honteux à la fois, un peu comme toi)
✿ Date & Lieu de naissance : un sept octobre à Auckland, on a hérité de Gigi, née en siège, peut-être pas la tête sur les épaules, mais déjà trop à l’endroit les yeux fermés
✿ Âge : elle n’a que vingt-et-un ans, sourit toujours à pleine dents, aimerait parfois avoir l’air plus âgée, peut-être un peu plus mature (mais en fait, non, c’est trop de responsabilités, elle veut continuer de vivre à 100 à l’heure comme un scooter débridé)
✿ Nationalité : Néo-Zélandaise, mains et pieds liés à ces ancêtres
✿ Origines : maories (un peu oubliée, délavées, comme un jean pour faire un peu plus cool qu’à l’achat)
✿ Orientation sexuelle : Gigi ne se définit pas (pour le moment), elle peut embrasser tout le monde en soirée : pas de jaloux, c’est plus simple comme ça. C'est encore un peu flou pour elle, qu'elle croit
✿ Statut civil : « L'amour, c'est toi peut-être, Mais trop tard, j'ai tourné la tête » ((célibataire))
✿ Statut social : c’est compliqué, comme quand on se remet avec son ex : mais on avait pas le choix (pas vrai ?)
✿ Profession | Études : Gigi livre de la nourriture, des commandes, essaie de ne pas les abîmer, pratique une activité physique régulière (quand on ne tente pas de l’écraser) > > elle est livreuse uber eat quand elle ne fait pas d’autres petits boulots à côté pour combler les fins de mois difficiles à payer
✿ Groupe : shooting star
✿ Nom de la fleur :
"Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là. Il y a encore le colchique d'automne, vénéneuse veilleuse, qui empoisonne les prairies de son mauve distingué."
✿ Ce qu'il préfère chez lui, physiquement ou non ? : ses yeux dorés, ses fossettes, son petit nez, son sourire, ses cheveux qui dépassent le long de son front, : son visage tout entier, sans demi-mesure
✿ Son moment de la journée préféré ? : il est tard maintenant, la musique raisonne encore dans le fond de la pièce, mais tout le monde est trop éreinté pour encore vraiment l’écouter. Elle est comme la voix de la raison que l’on a choisi d’abandonner (déraisonnables). Avachis dans la pièce, on compte les heures qui passent pour aller chercher quelque chose à la boulangerie, à six heure du matin (idée saugrenue vous me direz, mais en même temps, qui refuse de manger un croissant…). On décuve tranquillement, en parlant de tout, de rien, d’amour, d’aliens, d’argent, de la vie, de ce type qui criait gare aux caïmans : on est les grands enfants d’un monde moderne qui nous a dépassé, on parle, on rit s’en sans lasser.
Il est probablement quatre heure du matin, et on se moque un peu de ceux qui sont avachis, tête et visages éclatés, broyés comme du hachis.
✿ Est-ce qu'il a une passion dont il ne parle pas ? : Gigi communique facilement sur ce qu'elle apprécie... Il n'est pas compliqué d'en apprendre sur ses goûts et son mode de vie
✿ Plutôt du genre à s'endormir directement ou à se faire trois films dans sa tête avant ? : tombe de sommeil quand les pensées tardives ne viennent pas hanter... Alors elle met de la musique danse avec des écouteurs pour ne pas réveiller le voisinage jusqu’à ce qu’elle se rende compte encore une fois : qu’il est tard, elle ne dors toujours pas
✿ Comment est son écriture ? : large, avec des nuances entre les s en milieu et fin de mot, prend de la place, un peu d’espace, et doit finir par écrire plus petit pour que tout rentre dans les espaces réduits
✿ Gaucher, droitier, ambidextre ? : droitière, sans problème, sans misère
✿ Quelque chose qu'il ne supporte pas ? : (avoir) les cheveux gras
✿ Est-ce que sa vie actuelle lui plaît ? : elle se dit que sa vie est un peu comme quand on va au rayon yaourt et qu’on prend celui au soja, sans sucre, blanc délavé : si tu le prends c’est pas ce que tu espérais… We are in the prime of our existence SOUS LES CASCADES DE NÉONS BLEUS
Je n'ai pas de dents de sagesse, ça ne me manque pas
Quand je mords la nuit à pleines dents pour faire la nouba
Gigi est une lumière. Elle brille, elle guide les autres vers les néons bleus des soirées : c’est un feu-follet qui embrigade les âmes vers le dernier salut. Quelques verres, de la musique, de nombreux jeux, sans n’avoir jamais assez bu. Elle est un démon de minuit et oublie le poids de son escarcelle raccourcie. Elle veut imposer le tempo, elle saute habillée dans l’eau, elle veut vivre des aventures interminables dont elle ne se souvient pas le lendemain : tellement que c’était bien (qu’elle était ivre (d’amour, de joie)).
Et parfois, c’est la même mélancolie qu’elle ressent lors des journée, parce que tout est déjà terminé, parce que toutes les musiques se sont éteintes en logorrhée, parce qu’elle n’arrive plus à vivre dans le silence de sa propre voix. Elle a cette mélancolie des moments déjà vécu, et de ceux qui ne sont jamais venu : elle souhaite explorer, découvrir réellement ce que la vie pourrait lui apporter ((un trou noir à combler)).
A NE GARDER QUE LE BEAU
The way you move, it rings a bell
The way you stare, it casts a spell
Sensationnelle et constante hymne à la joie. Sur son joli minois est plaqué des rires qui sonnent comme un glas. Elle n’est que plaisanterie, bonne humeur. Fonce à toute vitesse, à mille à l’heure. Elle est un peu pressée Gigi, pressée de profiter de la vie, presser de se libérer. Tout ce qu’elle veut, c’est ne pas souffrir, ne pas se prendre la tête, juste se la vider continuellement. Elle préfère tout oublier, quitte à ne plus savoir ce qu’il s’est passé la veille : rien d’inquiétant. Gigi préfère rire que de pleurer, elle préfère s’illuminer de joie et mentir plutôt que d’assumer que ça ne va pas.
SANS RESISTANCE
I'm tired of being alone
So pick me up and let's go
Take me out to a place far from home
Where the daisies grow
And the days go slow
And the silence is comfortable
And don't you dare forget me love
Gigi adore se faire de nouveaux amis, rencontrer de nouvelles personnes, découvrir seul à seul comment ils raisonnent, découvrir avec curiosité comment leurs énergies s’additionnent. Ce qu’elle créée avec les autres est important, dégage en elle l’étrange sentiment que pour une fois elle a l’impression de construire quelque chose de grand. Liste de contacts interminable sur le téléphone, entre popularité et décomplexions : elle aime toujours proposer, organiser les soirées, les fêtes pour que jamais elle ne puisse s’ennuyer.
FILLE AGGRAVEE
Take, take from the ones who love you, ooh
Leave, leave with the ones who don't, ooh
Lie, lie to the ones who like you, ooh
Lay, lay with the ones who won't
Gigi est une irresponsable, une égoïste en réalité. Bien qu’elle sympathise avec tout le monde, bien qu’elle se propose toujours pour aider, elle ne pense qu’à ses propres désirs, elle ne finit que par suivre ses propres impulsions sur un coup de tête : elle ne suit réellement ses propres idées, quitte à échouer, quitte à se retrouver seule dans le chaos qu’elle a créé. Cependant, Gigi se forcera à sourire encore, toujours plus fort : les larmes sont interdites, elles se cachent sous les éclats de sa voix.
BAVURES RAYURES
"Dans la nuit, j'ai la foule
Les liquides bleus fluo
Qui me protègent de moi»
Gigi sait que l’épée de Damoclès vole au dessus de son crâne et à tout moment va tomber, mais ça peut attendre encore demain, une journée. Juste le temps d’encore s’éclater avant que sa vie vienne la rattraper. Elle aimerait être libre encore un moment, avant de devoir se concentrer sur la réalité, sur le présent, sur cette jeunesse bafouée. Alors, elle continue de se bousiller, elle continue de jouer à pile ou face, elle continue de ne pas vouloir faire réellement face.
- liste en vrac divers (physique et autre):
Gigi a failli plusieurs fois se faire écraser en conduisant son vélo pour aller livrer x Elle a quand même continuer son job (pas vraiment le choix) x Adore les fêtes, est toujours partante pour faire la fête, pour jouer à des jeux, pour danser, écouter de la musique et s’oublier x Rire un peu grossier, qui racle le fond de sa gorge x Ses longs cheveux bruns sont épais, bouchent parfois les canalisations : après les avoir débouchées, elle promets qu’elle va les couper, puis renonce à chaque fois ((que les pointes s’il vous plaît)) x Son rire est communicatif x Elle porte toujours un peu de maquillage pour illuminer son visage x En terme de jeux-vidéos elle n’a connu que la wii et la playstation (souvenirs de son grand-frère) x Son vieux réfrigérateur l’empêche parfois de dormir la nuit, il rugit x Des cheveux longs qu’elle doit tous les jours démêlés sinon les problèmes commencent à arriver x Gigi mesure 1m63 x Elle a des fossettes x De longs cheveux noirs qui chutent dans le long de son dos x des yeux marrons avec quelques reflets dorés au soleil x un grand sourire collé sur sa façade x de nombreux grains de beautés ((pas de tâches de rousseurs)) x Les talons lui font trop mal aux pieds, alors reste toujours à plat pour éviter la cata’ x Corpulence normale x amatrice de bob, de pantalon large, parfois déchirés, de baskets, et de lunettes de soleil branchées x des boucles d’oreille et des dorées x elle adore organiser des événements et des soirées x s’est fait tatouée quelque chose de honteux bourrée (elle ne le montre jamais volontairement) x ongles soignés mais pas trop long (la maladresse est vite arrivée) x est très attachée à la musique
  IN THE BEST WAY Quand j’étais enfant, il y avait cette grande villa où nous réunissions tous les étés. Mon père, ses frères et sœurs se regroupaient tous autour d’une même table avec leurs autres enfants pour les mêmes festivités. Tout autour, il y avait ces larges champs, verts et parfois blonds comme le blé. Je ne me souviens plus de la dernière où il était encore là, j’étais encore bien jeune je crois. Je ne me souviens que de l’odeur des champs, de nos cris ahuris, et des brindilles coincées dans nos short et dans le cuir nos souliers. Je ne me souviens que de cette légèreté, des bruits des verres qui claquent et des mêmes chansons que les adultes mettaient chaque année en souvenir d’une époque que nous n’avions jamais connu : un monde d’une ancienneté décousue, nos origines revécues. Les années passèrent et il ne revint jamais me voir ni me chercher. Mon frère avait disparu sans qu’il n’y ait de raison, de solution, sans qu’il n’y est pas l’ombre d’une explication. Derrière la fermeté de ma mère, j’ai arrêté de chercher une réelle raison devant les propos infondés, devant toutes ces élucubrations : peu importe, les menaces n’arrivaient pas à exécution malgré les échecs de mes plans que je créais à foison. Je crois que je me serai bien entendue avec lui, mais il n’y avait plus que moi aux fêtes de noël, au jour de l’an. Jamais nous n’en parlions, il était devenu un mort, ou probablement ce qu’on nomme un mirage. Il avait disparu des photos de famille, de celles que l’on faisait quand nous nous retrouvions, pas l’ombre d’un frère à l’horizon. Après toutes ces années, je crois que j’ai oublié l’espoir même de le retrouver. Je n’ai souffert de rien, il paraît. Même si maman parfois me criait un peu après, même si parfois elle était trop sévère avec le seul enfant qu’il lui restait : parce qu’elle avait sûrement peur que je m’envole comme ce dernier. Ils avaient peur que je ne reprenne pas le flambeau que je méritais. Pourtant, je n’en ai jamais voulu, nous n’avions jamais discuté de mes envies, de mes idées : parce que je n’en ai jamais eu en particulier. Ils ont insisté pour m’inscrire à l’université (médecine folle alliée), pour que je réussisse, pour que j’atteigne les sommets dans leur jolie cage dorée. La culture familiale, je l’ai rapidement délaissée au plus grand désespoir de mes aînées. Ce fut le cas aussi de mes études il y a aussi une année. Je ne m’occupe plus vraiment de ce qu’ils peuvent penser, j’essaie juste de survivre et de vivre ma vie comme je l’entends : j’essaie seulement de survivre dans ce monde trop grand. Chaque journée doit être une nouvelle fête à célébrer, chaque journée sera mon propre poison : je ne suis plus vraiment une préoccupation (lot de consolation). Fresh intoxication, retro retaliation
Do you feel me? Do you feel me?
Body, mind pollution, electro execution
Can you kill me? Can you kill me? Merci de remplir ce champ uniquement si vous avez envie d'être mis dans la liste des coeurs pour être contacté pendant les intrigues, les lancers de dés ou par les autres membres pour des futurs liens, tout en gardant à l'esprit que votre coeur, donc, peut changer à tout instant grâce à la science : - Code:
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COEUR A PRENDRE » <b>situation amoureuse</b> ✿ <a href="https://bloomintome.forumactif.com/u90">Gigi Herewini</a> DERRIÈRE L'ÉCRAN - Code:
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» <b>NONA THE NITH + The locked tomb</b> ✿ <a href="LIEN DU PROFIL">Gigi Herewini</a> | Rhode Ang pharmacienne / dealeuse  | |
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