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FORUM FERMEdéfinitivement. merci pour les souvenirs !

l'amour fleurit et flétrit, il est comme une fleur qui passe et trépasse avec le temps.
l'amour ne dure qu'un instant, qu'un moment ; c'est ce qu'on dit, qu'il est éphémère, comme la vie, comme la pluie.
et pourtant, malgré ce moment si court durant lequel on aime, cela peut suffire à tuer ; et ça vous rend malade, d'aimer sans être aimé en retour, et ça vous tue le coeur et l'âme - littéralement.
vous avez envie de vous échapper, d'arrêter ça, et c'est votre poitrine qui se gonfle, vos poumons qui s'emplissent ; et vous toussez, encore et encore.
et ce sont des pétales de fleurs qui tombent lourdement sur le sol pâle.
auckland. juillet 2023, hiver.
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(terminé) [VIOLENCE] gwen » with a heavy heart I'll guide this dagger into the heart of my enemy

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Mar 21 Déc - 17:43


with a heavy heart I'll guide this dagger into the heart of my enemy

une barre de fer que tu serres entre tes doigts rougis par les coups donnés.
la boîte de nuit bien trop éclairé pour que cela soit normal.
le monde, autour de vous, deux contre le monde. un sourire sur tes lèvres, l'excitation qui secoue ton corps.
il y a bien longtemps que tu n'avais pas senti l'adrénaline te parcourir les veines comme cela.

« tu me traînes toujours dans les pires histoires. » un peu comme dans un film, une négociation qui a mal tournée, qui devient musclée, que vous ne pouvez pas régler autrement que par les coups.
ce n'est pas de votre faute, c'est eux qui commencé.
un poing qui est parti dans ton visage, gwen qui n'a pas su retenir le sien, et voilà qu'en quelques secondes, tout le monde se tapait dessus. vous n'étiez que quatre.
jusqu'à maintenant.

mais vous voilà entourés de ces hommes en costume, l'air un peu trop costaud pour vous et pourtant, pourtant.
vous ne vous laisserez pas faire - et la peur ne voue prend même pas le ventre, oh non, c'est l'envie de casser des nez qui vous anime, l'envie de régner qui vous fait avancer.

« de quoi se défouler. » c'est tout ce que tu as dit, en rigolant, et tu ne l'as pas attendu pour foncer dans le tas.
un coup, un autre,
un coup dans tes côtes, la respiration qui se coupe,
le sang qui qui coule sur leurs fronts, ta lèvre qui se fend.

ça fait du bien,
de s'abimer,
comme ça,
ça fait du bien,
de se sentir vivant,
de sentir que l'on existe.

tu serais presque heureux d'y laisser ta peau, au final.
we got the right to live, fight to use it, got everything but you can just choose it, i won't just be a puppet on a string


Maksymilian Kaminski
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Maksymilian Kaminski
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Ven 7 Jan - 11:27





restless nights ; can't catch my mind when it starts to crumble (it starts to crumble) ; I can't fight this war inside but I try to tighten my grip and stay above water

Tu remets tes gants de cuir en place alors que tu enfiles un poing américain.
Le sang qui coule de ta narine et arrive sur tes lèvres ; dans ta bouche – tu craches sur le côté alors que tu ressens encore la douleur diffuse du dernier poing que tu t’es pris dans la mâchoire.  
Ils vous avaient cherché ; tes gars disaient que les médicaments n’avaient pas quitté le quartier – que ce nouveau gang, qui avait pourtant accepté de faire une alliance, avait tout garder pour lui.
Ce n’était pas les termes du contrat.

Ni le poing qui avait volé parce que c’était des hommes ; la virilité incarné ; qu’une pauvre femme ne faisait pas le poids, enfin.
Et voilà que l’autre qui avait osé lever la main sur toi était par terre, assommé. Et qu’il n’allait sûrement pas se relever de si-tôt – s’il se relevait seulement. Après tout, le crâne avait fait un bruit étrange en tapant le sol ; et même si tu étais pour éviter les morts inutiles, ceux-là ne méritait leur sentence.
Combien de personne étaient peut-être mortes à cause d’eux ? à cause de leur égoïsme, de leur envie de garder la « drogue » pour se shooter, et non pas pour aider ceux qui étaient réellement en souffrance ?

Ça te dégoûtait.

Qu’ils crèvent tous, ces sales races.

Ces hommes qui se pensaient toujours au-dessus de tout.
Parce qu’une femme à la tête d’un gang, vraiment, qu’elle bonne grosse blague.

La blague, ça a été que Maks n’était pas loin.
La blague, ça a été que Maks t’a protégé, que Maks a chopé une barre de fer, que Maks s’est battu avec toi.
Que Maks fait partie du combat, maintenant, et que le probable chef, désormais au sol, n’a probablement pas aidé dans le fait que ses membres vous encerclent, plutôt en colère.
Mais ce n’était qu’un détail.

A vous deux, vous devriez vous en sortir.
Et dans le pire des cas, tes propres gars étaient là ; tout autour.
Mais qu’ils se tenaient prêts ; qu’ils étaient des bons chiens, qu’ils ne contestaient pas tes ordres. Ils n’agiraient que lorsque tu en donnerais l’ordre.
Et pour l’instant, tu comptais bien te débarrasser du plus possible de ces hommes seule – ou avec ton ami, que tu mets littéralement dans la merde, pour le coup.
« mauvais endroit mauvais moment, tu connais le deal. » lui souris-tu, les dents probablement ensanglantées – tu t’étais mordu au moment où le poing avaient cogné ton visage. « par contre, toi qui a parfois du mal à gérer ta colère, c’est le moment d’en profiter. »
Heureusement que ce genre de chose n’arrivait pas tous les jours ; heureusement que la plupart des sous-gang qui faisaient des alliances avec vous savaient à quoi s’en tenir. Et si ce n’était pas encore le cas – ils sauraient, désormais.
« j’espère que tu n’avais pas de date ce soir. »
Car ce ne serait sûrement pas beau à voir, à la fin.
Entre le sang, les habits tâchés ; vos propres bleus et peut-être os cassés.
Non, ce ne serait pas beau à voir.

Mais ce sera pire du côté des opposants.

c. 雲
Gwendoline L. Bowers
infirmière
Gwendoline L. Bowers
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Mar 8 Fév - 13:53


with a heavy heart I'll guide this dagger into the heart of my enemy
Tu as l'impression d'être quelques années en arrière. La bagarre, tu l'avais laissé un peu tomber. Tu avais essayé de bien te tenir, jusqu'à maintenant. C'est qu'il faut être classe, c'est que ce n'est pas ton champ de prédilection, c'est qu'un homme en costume, ça ne se bat pas.
Et pourtant, tu défais deux boutons de ta chemise déjà tâchée, les manches retroussées sur tes avant-bras abîmés.
Tes doigts sont blancs contre la barre que tu tiens, le plaisir qui traverse tes veines.
Tu n'es pas vraiment normal.
Tu n'as pas vraiment le droit d'aimer ce genre de choses.
L'adrénaline qui soudainement fait accélérer ton coeur.
Tu trembles.

« t'es mon seul date de la soirée, 'bé » as-tu alors répondu en te mettant à rire.
tu n'avais rien de prévu, tu crois.

mais on ne te laisse pas vraiment le temps de réfléchir plus que ça quand des poings s'abattent sur vous ; deux contre le monde, comme une impression déjà-vu ; un vieux film qui se répète sous vos yeux et tu adores ça.
La barre qui déboite une mâchoire, une deuxième, mais un ton ventre qui se fait assaillir, le bruit du fer contre le sol, les stroboscopes de la boîte de nuit qui n'a de cesse de vous éblouir, tu es essoufflé, le diaphragme en compote, un nouveau coup dans ta mâchoire, elle craque étrangement, ça ne fait pas du bien. Mais tu ne te laisses jamais vraiment faire, et la riposte leur sera probablement fatal quand tes jambes s'en prennent à un, deux, peut-être trois, quand l'un d'eux fini dans ton étreinte, le visage écrasé contre le mur.
tu devrais te calmer.
et tu n'aimerais pas qu'on te voit.
les cheveux ébouriffés, le visage tuméfié.
prêt à tuer, probablement.

« hey chef. » tu interpelles la blonde, l'homme toujours bloqué entre tes bras. « cadeau. » et voilà une offrande bien méritée.
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Maksymilian Kaminski
proxénète
Maksymilian Kaminski
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Ven 4 Mar - 16:54





restless nights ; can't catch my mind when it starts to crumble (it starts to crumble) ; I can't fight this war inside but I try to tighten my grip and stay above water

Et tu réponds à son rire ; il n’avait pas de date, heureusement pour lui au vu de sa chemise ruinée, au vu de son visage ensanglanté. Et le petit surnom qu’il t’a porté ; tu ne pouvais décidemment pas te retenir, riant devant tous ceux qui rêvaient probablement de vous faire taire.
Mais vous étiez bien plus puissant qu’eux.
Vous connaissiez la guerre.
Tu la connaissais, la vrai.
Et il connaissait celle de la rue.
Ce n’était certainement pas des petites tapes qui pouvaient vous effrayer
Qui pouvait vous battre
Vous mettre au tapis.
Jamais.

Et tu l’entends qui se bat ; tu entends la batte qui fond sur les autres – les os qui craquent, les cris d’agonies, les cris de surprises et de peur et la rage qui monte ; et tu souris. Tu souris parce qu’ils s’en prennent à vous, parce qu’ils n’ont pas compris, encore – qui vous êtes. Et ils viennent sur toi, à nouveau ; et tu n’avais jamais réellement apprécié ta petite taille jusqu’à présent mais tu évites facilement les poings en te baissant, abattant le tiens, d’américain, sur leur menton ; et tu entends les dents qui s’entrechoquent ; le sang qui giclent et les os brisés – probablement quelques dents en moins, sur celui-là. Et c’est comme une danse macabre alors que tu prends des coups de pieds dans le ventre, alors qu’on te fait tomber à terre pour te rouer de coup ; alors que tu te relèves dans une rage indécente et que tes poings s’abattent sur les plus proches, alors que tu laisses la folie meurtrière prendre le dessus – et tu as l’impression d’entendre à nouveau les explosions de la guerre.
Et tu as l’impression que c’est le désert à nouveau.

Ce n’est que Maks qui te tire de tes pensées alors qu’il ne reste que quelques hommes autour de vous ; amochés, autant que vous.
Il te montre le gars ; une offrande qu’il t’offre.
Tu te rapproches, attrapant par les cheveux courts qu’il y a, le montrant aux autres en costumes ; ça suffit, les conneries.
Ça suffit de vouloir faire comme s’ils étaient chez eux.
Et les néons de la boite de nuit accentue le sang ; accentue ta peau pâle qui doit être d’un vert surréel.
« on va en faire un exemple. »
Et tu sais que tu n’as pas ton arme ; ton flingue est resté dans sa boite, tu ne pensais pas que ça tournerait mal. Et pas certains que tes gars, restés en retrait, en ait aussi.
« vous le voyez, là ? vous voyez, votre gars ? votre frère d’arme, peut-être ? »
Qu’allais-tu en faire, vraiment ? la logique voudrait que tu l’exécutes.
Un exemple.
Mais tu connaissais la vengeance – elle était bien parfois bien pire qu’en faire un exemple.
Tu te tournes vers Maks ; dans tes yeux, les explosions des obus qui retentissent.
Un flashback qui se rapprochent un peu.
Tu ne sais pas si tu vas pouvoir tenir.
« On en fait quoi, de lui ? » lui demandes-tu, la voix légèrement tremblante.
Tuer ou ne pas tuer.
Tu lui laisses le choix, à lui ; car avec toi, cet homme serait déjà mort.

c. 雲
Gwendoline L. Bowers
infirmière
Gwendoline L. Bowers
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Lun 13 Juin - 15:36


with a heavy heart I'll guide this dagger into the heart of my enemy

Elle te laisse le choix,
son corps qui tremble,
tes doigts qui se serrent.

Elle te laisse le choix de l'achever,
de salir tes mains sur lesquelles le sang n'a jamais séché.

Tu pourrais, en quelques instants, briser sa nuque,
il tomberait, raide,
mort,
entre tes doigts,
figé,
sans jamais respirer.

Peut-être détruiras-tu une famille,
peut-être que c'est un père que tu assassines ce soir,
peut-être est-ce un amant,
un enfant.

Ont-ils pensé à tout cela, eux, avant de lancer leurs poings ? Avant de vouloir vous éliminer ?
Peut-être pas.
Et la vie t'a rendu sentimental,
elle te fait réfléchir,
te fait penser.
Quelques années en arrière, cet homme n'aurait pas survécu,
la mâchoire déboîtée contre le sol,
tu l'aurais laissé pour mort sous les néons psychédéliques.

Tu l'étouffes un peu plus,
il demande de l'aide,
il s'accroche à ton bras,
ses ongles dans ta peau,
il te dit de le laisser,
qu'il ne recommencera pas,
et tu sens sa trachée qui ploie sous ta force,
la respiration qui se fait courte,
les veines qui vont exploser,
le rouge de ses joues,
son crâne qui va céder.

de l'air,
il en veut,
et tu le nargues,
sous les yeux de tous,
sous le silence accablant des néons qui crépitent.
vont-ils comprendre que tu ne rigoles pas ?

Il tombe,
il n'est pas mort,
essoufflé,
évanoui,
effacé.

«Qui est le suivant ? » fixé sur eux,
sans geste de plus,
sans bouger,
sans peur.

tu es terrifiant,
terrifié,
les doigts tremblants,
l'envie de tue.
que gwen te retienne,
qu'elle essaye,
rien qu'un peu,
de calmer ta folie.

« chef. » tu baisses les manches de ta chemise ensanglantée. « je pense qu'ils ont compris. »
et si vous étiez horribles,
peut-être devront-ils tous mourir.
peut-être que celui à taire servira vraiment d'exemple,
peut-être l'achèvera-t-elle.
peut-être.
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Maksymilian Kaminski
proxénète
Maksymilian Kaminski
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Ven 17 Juin - 15:22





restless nights ; can't catch my mind when it starts to crumble (it starts to crumble) ; I can't fight this war inside but I try to tighten my grip and stay above water

Tu l’observes, l’admires presque
Admire sa dextérité
Son courage (non)
Son envie de vivre (oui)
De faire un exemple, de leur montrer
Qui sait
Les plus forts
A qui l’on le doit
Le respect. (vous)

Tu l’observes alors que la tête de l’autre devient méchamment rouge, alors que les autres vous regardent, abasourdis
Qu’il implore la pitié
Qu’il ne le fera plus
Qu’il ne vous importunera plus
(des mots, que des mots)
(dans le vent)
Il n’y a que la violence qu’ils connaissent
Que la violence qu’ils comprennent.

Et il le lâche, finalement ; il est parti pour un petit moment, le monsieur
Mais les autres comprennent
Ils savent, désormais
Qui vous êtes
(pas normaux)
(des fous furieux)
Le respect des gangs ne se fait plus de nos jours, apparemment.

Pourtant l’envie est là
Vengeresse
Implacable
Lui assénez le coup
Celui qui sera fatal.
Tu respires ; Maks se calme ; ton regard va de lui aux autres
Des autres à lui
Et tes points américains se baissent, finalement.
Tu souffles un peu sur tes ongles ; pleins de sangs – brisés.
Obligée de passer faire une manicure, obligée de faire quelque chose avant ton ouverture de shift.
Les yeux baissés, ils se relèvent pour venir se fixer sur les autres, qui s’approchent de corps
Sans vie
Immobile.
La main sur le bras de Maks ; comme pour le retenir
Mais c’est toi
Que tu retiens.
Maks est ton ancre ; celle qui t’empêche de poser pied à terre quand tu pars trop loin.
Chacun l’ancre de l’autre ; parfois vous échouez sur le sol dans une tempête trop forte.
Parfois vous arrivez à rester arrimer, comme là
Comme maintenant
Alors que tes gars observent, à nouveau
Le déploiement de ton autorité
De ta sévérité
(de ta folie)
(meurtrière)
(meurtrière)

« c’en est assez. Rentrez chez vous. » voix froide ; dure.
Dans un murmure glaciale tous s’exécutent ; tes gars aussi, en font partie.
Tu te tournes vers lui ; ton ami ; ton frère d’arme.
Ton frère, tout court.
« rentrons chez nous. » un sourire presque timide ; tu es presque sûr que tu as côté fêlée, quelque part.
« rentre chez ton cher et tendre, Maks. Fais toi dorloter. Profites du calme. »
Avant la tempête.
Avant que tout ne dégénère.
La vie ; comme la mort.
Comme l’amour.

Au loin, le tonnerre gronde.

c. 雲


Rp terminé.
Gwendoline L. Bowers
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Gwendoline L. Bowers
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